La mousse, la porosité, et la pollution agissent comme un ” effet éponge “  sur vos tuiles. Ce phénomène provoque une surcharge en poids de votre toiture. 

A savoir, une tuile poreuse trompée dans un seau d’eau est 200 à 300 grammes plus lourde qu’une tuile neuve ou hydrofugée.

Votre toiture compte entre 1000 et 2000 tuiles, pensez-vous une seconde que votre architecte ait pris en considération des tuiles gorgées d’eau ? 

La rétention d’eau provoquée par la masse située sur le nez des tuiles empêche l’écoulement de l’eau et remonte sur le recouvrement de la tuile.

C’est ce qu’on appelle ” le siphonnage “. l’eau suinte sur les liteaux et entraîne leur moisissure.  

Si les liteaux sont rongés et trop attaqués vous serez obligés d’effectuer un travail de ” réfection d’eau “.

C’est le degré d’absorption d’eau de la tuile, ce qu’on appelle dans notre jargon ” l’effet buvard “.

En effet, de la condensation se crée. les combles sont plus chaudes que l’extérieur, cela provoque énormément de condensation. Cette condensation crée de l’humidité qui se dépose sur les liteaux, les chevrons, et empêche l’isolation des combles. Cela accentue très fortement le taux d’hygrométrie de vos combles, d’ou une condensation importante (affaiblissement de l’isolant, risque des moisissures des bois, etc…)  

Les racines des mousses et lichens canalisent l’eau jusqu’au cœur de la tuile. 

Lorsqu’il gèle les dégâts se situent aussi bien en surface qu’an cœur, ce qui provoque le ” faiençage “.

Fissures et fuites, avec les conséquences nuisible connues :                Taches aux plafond, moisissure de bois, ruissellement intérieurs et extérieur, affaiblissement de l’isolant, décalage de tuiles etc…  

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